« Notre système dit de "protection sociale" consiste à taxer le travail, l'invention, l'initiative, la prévoyance, le courage, la vigilance et la sobriété, afin de subventionner l'insouciance, l'imprudence, l'irresponsabilité, l'intempérance et la gloutonnerie.
Un biologiste vous dira qu'un tel système de sélection négative maintenu au sein d'une population durant plusieurs générations ne peut aboutir qu'à la dégénérescence de cette population, et à sa disparition du monde vivant, à plus ou moins brève échéance ».
(Pierre Lance)
6.7.04
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
3 commentaires:
test
C'est une bonne question, mais il ne faut pas mélanger le problème de l'assurance et celui de la solidarité. J'en reparlerai dans un post futur pour préciser la position des libéraux. En attendant, voici quelques pistes :
- http://www.conscience-politique.org/social_et_societe/valansolidariteimposeeparetat.htm
(La solidarité imposée par l’Etat est-elle une vraie solidarité ?)
- http://www.pageliberale.org/billet.php?niw=1070 : je cite D Valancogne :
Néanmoins, le problème des pauvres reste entier. Ne pouvant cotiser, ils risquent de se retrouver sans assurance. Les gouvernements successifs ont négligé ce problème, voulant à tout prix maintenir "la sacro-sainte" Sécurité Sociale. La DRESS dans un rapport sur le système de santé des Etats-Unis soulignait que 11 millions d'américains étaient sans assurance maladie pour mieux le montrer du doigt. Mais face à l'aveuglement des pouvoirs publics, combien aurons-nous de français sans assurance ? Ce chiffre théorique est évalué à plusieurs millions, alors que notre population rapportée à celle des USA est 4 fois moins nombreuse !
Il devient pressant de mettre en place un fond de solidarité se substituant à la sécurité sociale, pour les pauvres, afin qu'ils puissent eux aussi cotiser à des assureurs privés comme nous.
Publier un commentaire